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lundi 23 mai 2022

Stress des examens : des fleurs de Bach pour l'apaiser

 

Le mois de mai…. Ça sent bon la fin de l’année scolaire mais la période des examens approche à grand pas. BAC, DNB (Diplôme National du Brevet), permis de conduire, … un joli cocktail qui peut mettre les nerfs de nos ados un peu à vif ! Sans oublier les plus jeunes qui vivent aussi les devoirs sur table, contrôles, évaluations tout au long de l'année... Voici donc un article sur les fleurs de Bach qui peut être fort utile pendant toute la scolarité !


Si la rigueur dans les révisions et le travail tout au long de l’année paient, on sait que le stress, la peur d’échouer, de parler en public, de ne pas savoir quoi dire sur le sujet, de faire un hors-sujet peuvent être, par contre, de véritables blocages. Combien de personnes ont échoué ou du moins pas réussi comme elles le voulaient (ou le méritaient) parce qu’elles avaient peur, ne se sentaient pas à la hauteur….

Les émotions sont nécessaires pour les examens et normales mais comme pour tout, elles ne doivent pas être un frein. Mais bien un moteur pour aider à avancer.


Autant mettre alors toutes les chances de son côté… Sophro, relaxation, méditation sont des outils excellents pour soulager les tensions. Je vous propose aussi quelques fleurs de Bach qui pourront soutenir tous les efforts de votre examiné !



Hornbeam, un moteur pour se mettre aux révisions

Hornbeam, le charme, agit comme un booster de motivation. Votre ado a tendance à remettre au lendemain ce qui ne l’enchante pas, les matières qui ne lui plaisent pas trop ou que il appréhende ? Avec Hornbeam, il se motive davantage et entrera dans la danse avec plus d’entrain.


Chestnut Bud, la fleur de l’apprentissage

Pour ceux qui ont des difficultés à retenir. Chestnut Bud permet l’intégration des leçons de la vie mais aussi celles écrites sur le cahier. C’est la fleur de l’apprentissage par excellence.


Clematis, la concentration

Si votre ado a tendance à se réfugier dans l’imaginaire et à partir très très loin, alors Clematis peut être fort utile car il aide à se concentrer sur le temps présent.


Cerato, confiance en son savoir et en son intuition

L'enfant doute de ce qu’il sait et pourtant il sait ! Souvent il a besoin d’être rassurée parce qu’il a en lui les bonnes réponses. Et souvent la première est la bonne. Donc pour ne plus douter et se faire confiance, Cerato peut être un atout de qualité.


Larch, la confiance en soi

C’est une fleur indispensable pour se sentir en confiance. Larch permet de découvrir sa valeur, de savoir qui l’on est et d’avoir confiance en ses capacités.

Pour une épreuve orale, elle est vraiment indispensable, en lien avec la fleur qui suit, Mimulus.


Mimulus, la fleur du courage

Mimulus est LA fleur qu’il faut pour cette période si les peurs sont très présentes : peur de ne pas savoir, peur de parler en public. Elle permet de prendre courage, pas de ne plus avoir peur du tout parce que la peur a du bon (dans cette situation, elle permet de vérifier que l’on n’a pas fait d’impasse, que l’on est prêt).


Et l’indispensable RESCUE

Parce que clairement, si l’on ne doit en prendre qu’un, c’est bien ce mélange d’urgence. Que ce soit sur du long terme (3 semaines avant les épreuves) ou sur du court, (quelques secondes avant d’entrer en salle), le rescue va permettre de faire retomber l’angoisse et assurer une meilleure maîtrise des émotions sur le moment. Donc, n’hésitez pas à en verser 4 gouttes dans un flacon (en plus des autres fleurs choisies) ou à proposer deux pulvérisations avant d’entrer en composition.


Voilà, maintenant, il ne reste plus qu’à croiser les doigts et les orteils, à prendre le temps de réviser et de se détendre un peu.


Vous vous demandez comment confectionner un flacon ? Les fleurs de Bach : qu’est-ceque c’est ? vous donnera des clés.


Besoin d’un conseil particulier ? Pour vous, vos enfants ? Vous pouvez me contacter sur la pagecontact du site Bouillon d’Amour.



A très vite,


Mélanie

Accompagnante émotionnelle pour les enfants, les adolescents et leurs parents.

Rdv en cabinet sur le Sud Essonne ou à distance.


dimanche 1 mai 2022

Education des enfants : nous ne sommes pas d'accord


 

Education des enfants : nous ne sommes pas d’accord.


L’éducation d’un enfant s’avère souvent un sujet de discorde entre les deux parents et venir perturber sérieusement l’ambiance familiale. (Par parents, j’entends toute personne formant le couple parental, quel que soit son orientation amoureuse ou la situation matrimoniale.)


Les causes de désaccord quant à l’éducation des enfants


Trop sévère ou pas assez. C’est souvent ce qui revient en premier. L’un est très strict avec la nourriture, l’utilisation des écrans, la liberté à accorder aux enfants. Ou bien au contraire, on reproche à l’autre son laxisme, sa permissivité, de ne pas donner le cadre que l’on estime nécessaire à l’épanouissement de l’enfant.

Mais aussi les cris, l’énervement de l’autre, en terme général, la posture que nous adoptons face aux enfants et la façon dont nous répondons aux besoins de l’enfant (punition, pas punition, chantage, pas chantage…) sont sources de conflit entre les parents eux-mêmes et cela peut facilement dégénérer en querelle.

Être parents, la majorité se l’accorde à dire, ce n’est pas une chose facile. Nous sommes confrontés non seulement aux besoins de l’enfant, à nos propres besoins et émotions mais aussi aux besoins et émotions de l’autre. Ces besoins et émotions entrent bien souvent en écho avec ce qui nous a été transmis en terme de blessures émotionnelles (souvent développées pendant l’enfance mais aussi reçues en guise d’héritage familial). Sans nous en rendre, nous nous forgeons une image de la parentalité qui résulte de tout cela et de bien plus en encore : la pression sociale, les modèles familiaux autour de nous, notre propre histoire.

Donc éduquer un enfant, c’est aussi confronter deux modèles de parentalité et deux personnalités.


Lorsque l’on a la même vision, les mêmes valeurs, cela se passe relativement bien. Là où cela se complique, c’est lorsque les valeurs divergent.


La clé : créer un modèle éducatif commun


Eh oui, on n’y pense pas trop mais pourtant la solution est simple… Il suffit de parler ! Parler, me direz-vous, oui, bien sûr mais il faudrait déjà que l’autre écoute….

De la même façon que l’on réfléchit avec une équipe à un projet et comment utiliser au mieux les compétences de chacun, il sera peut-être utile à un moment de planifier votre réunion d’équipe parentale… Car au fond, être parent, c’est ça. C’est former une équipe parentale. En mettant au monde votre enfant, vous vous êtes embarqués sur une croisière au long cours.

Alors de quoi a besoin un équipage pour arriver à bon port ?

Eh bien justement, elle a besoin d’un port. C’est-à-dire d’une destination, d’un but.

Quel est votre but en tant que parents ? Où voulez-vous mener vos enfants ?

Ce but, c’est ce que vous voulez transmettre à vos enfants. Et cela nécessite de réfléchir à vos valeurs. Alors il est important de réfléchir à vos valeurs personnelles et de les confronter à celles de l’autre tout en prenant en compte les besoins de l’enfant (besoins physiologiques, besoins de sécurité, d’appartenance, d’estime de soi et de réalisation… La pyramide de Maslow, vous connaissez ? ).


Et pour que cela soit efficace, il est important d’y réfléchir et de confronter très tôt, idéalement avant la naissance de l’enfant, nos différentes valeurs. Après, bien sûr, soyons réalistes… Les besoins vont se modifier et évoluer en fonction de l’âge de l’enfant. Vous aurez donc régulièrement des « réunions d’équipage » tout au long du développement de votre enfant.


Et pour qu’une équipe fonctionne bien, de quoi a-t-elle besoin ?

D’une part que chaque membre sente qu’il a une place, un rôle à jouer et d’autre part que sa voix est entendue et ses besoins respectés.

Donc, prenez le temps de choisir un moment où vous êtes disponibles tous les deux, sans les enfants.

Ensuite, permettez à chacun de s’exprimer sans jugement de la part de l’un ou de l’autre. Ecoutez-vous mutuellement car vous le faîtes pour le bien de vos enfants. Vous pouvez pour cela utiliser la Communication Non Violente (CNV). La référence en la matière est le livre de Marshall Rosenberg, Les mots sont des fenêtres.

Comment se sent-il dans son rôle de parent en ce moment ? De quoi a-t-il besoin ?

Une fois que chacun a dit tout ce qu’il avait à dire (Attention : vous parlez en tant que couple parental pas en tant que couple « amoureux » (ou pas) ), il va être temps de clarifier votre but, votre objectif, l’endroit où vous souhaitez emmener votre enfant. Et là, on entre dans la phase des négociations. Car être parent, c’est un travail d’équilibriste toujours ébranlé par vos besoins et vos croyances, celles de l’autre et la personnalité de l’enfant.


A vous maintenant de réfléchir ensemble à comment vous pouvez organiser les choses de façon à ce qu’elles soient justes pour tout le monde. Si votre conjoint est intransigeant sur la politesse ou la façon de se tenir à table, laissez-lui le soin de gérer cela. Ou si pour vous, le rangement de la chambre est primordial mais pas pour l’autre, prenez-le en charge.


Mais à partir de là, vous savez que vous avez un but commun. Que les méthodes peuvent diverger mais qu’elles mènent toutes au même endroit. Vous allez dans la même direction. Même si je n’aime pas trop cette expression, vous savez que vous faîtes « front commun » et qu’il y a de la cohérence pour votre enfant.



Créer un modèle éducatif commun, c’est difficile.

Je sais, vous allez me dire que tout cela est très joli, sur le papier (ou sur l’écran…)

D’une part, on peut ne pas savoir par où commencer. Quelles questions se poser pour avancer personnellement dans cette réflexion ? Je propose souvent de commencer par soi. Faire un état des lieux, de ce qui nous plaît ou pas, de ce que nous voudrions réajuster.


S’ajoute aussi la peur de se tromper, de faire une erreur éducative. Pour ma part, je pense que nous faisons tous des erreurs. On aura toujours quelque chose à reprocher à nos parents. Mais que se passe-t-il quand nous pensons que l’autre commet une erreur ? Eh bien, les réunions d’équipes parentales sont là pour remettre les choses au point et comprendre.


Par exemple : vous trouvez que l’autre parent crie trop sur votre enfant, qu’il manque de patience. Ok. Qu’est-ce que cette situation réveille en vous ? Quel besoin non comblé est mis en avant ?

Et pour votre conjoint, qu’est-ce qu’il fait qu’il éprouve le besoin de crier ? Qu’est-ce qui est mis à mal chez lui ? Est-ce un besoin d’autorité, la volonté d’être obéi quoi qu’il arrive ? Est-ce la fatigue ? La peur ? Il y a tellement de choses qui se cachent derrière un cri.


Parce qu’être parent, c’est aussi se poser des questions sur soi, c’est aussi grandir en tant qu’être humain. C’est essayer de comprendre le modèle qui nous a été transmis et réaliser que nous ne pouvons pas forcément l’appliquer au pied de la lettre ou au contraire, le rejeter complètement.


Etre parent, c’est avoir des cartes en main et se demander quelle est la carte que nous avons envie de jouer.


Donc petit rappel pour créer votre modèle éducatif commun


- Planifiez un temps d’échange sans les enfants

- Réfléchissez d’abord à vos besoins

- Echangez

- Définissez un objectif, les valeurs que vous voulez transmettre à vos enfants

- Répartissez-vous les tâches.

- Réévaluez aussi souvent que nécessaire.


La médiation parentale

Si créer votre modèle éducatif commun vous semble particulièrement difficile, que vous avez essayé mais que cela ne mène à rien, sachez que vous pouvez faire appel à des professionnels. Des coachs parentaux (dont je fais partie même si je préfère le terme d’accompagnante) peuvent vous accompagner dans votre réflexion et servir de médiateurs entre les deux parents.

Sans jugement, il va écouter chacun d’entre vous séparément puis ensemble afin de vous aider à trouver VOTRE modèle. Il n’est pas là pour vous donner des conseils ou vous apprendre à faire mais bien pour faire émerger les solutions qui se trouvent au fond de vous deux.


Ces séances peuvent se faire en cabinet ou en visio en fonction de vos besoins. N'hésitez pas à me contacter pour en savoir plus. 


Mélanie,

Psychopraticienne

Accompagnante émotionnelle pour enfants, ados et parents

Séances dans le Sud Essonne ou en visio

www.bouillon-d-amour.fr

dimanche 24 avril 2022

6 conseils pour lutter contre les cauchemars

 


6 conseils pour lutter contre les cauchemars



« Maman, j’ai fait un cauchemar » … Une petite voix très douce vient de me glisser cette gentille petite phrase qui vient tout aussi gentiment rompre un sommeil péniblement acquis… Et encore, je peux m’estimer heureuse de ne pas être réveillée par des pleurs et des cris.

La période des cauchemars est une période normale dans le développement de l’enfant. Elle se développe entre 3 et 6 ans (attention, aucune généralité : chaque enfant est différent. Cette période peut intervenir un peu plus tôt, un peu plus tard, ou pas du tout ! )

Mais en tout cas même si la période des cauchemars est normale et qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter, pour l’enfant, elle n’est pas agréable à vivre. Aimez-vous, en tant qu’adulte faire des cauchemars ? Non, je ne pense pas. Surtout que, pour ma part, même si mes cauchemars ne sont pas terrifiants, il sont persistants et me laissent au réveil un sentiment de malaise. Alors pour un enfant qui n’a pas fini (voire commencé) sa maturité émotionnelle, qu’est-ce que cela doit être ?


Donc, même si la phase des cauchemars est en partie une phase normale dans la construction de l’enfant, on peut cependant, nous adultes, trouver des petites choses pour lui permettre de la traverser de façon sécurisante et peut-être même de l’atténuer.


Veiller à la qualité du sommeil pour éviter les cauchemars


C’est certainement une évidence, mais rappelons-la tout de même :

On évite les scènes choquantes à la télévision.

 (Même le journal télévisé peut être choquant). Et attention, ce qui n’est pas choquant pour un adulte l’est potentiellement pour un enfant surtout hypersensible. Si je vous disais que pendant de longues années j’ai été terrorisée par E.T. rien qu’en voyant la bande annonce à la télé, ou que certaines de scènes de la Petite Maison dans la Prairie (oui, je sais …) ont eu des répercussions sur mon sentiment de sécurité (l’épisode où l’institut pour aveugles brûle est compliqué à vivre pour un enfant…!) Ce sont des exemples, bien sûr qui datent d’une époque lointaine (ahahah). Mon grand, lui, pendant longtemps a refusé de regarder Shrek à cause de l’ambiance volcanique dans la scène où l’ogre libère la princesse.

Tout cela pour dire qu’on ne sait pas ce qu’un enfant perçoit. Des choses qui paraissent anodines aux adultes peuvent vraiment marquer l’esprit d’un enfant.


Et je ne parle même pas des jeux vidéos…


Donc vigilance, vraiment !


Ensuite, vous pouvez :

Veiller à faire dormir les enfants suffisamment.

Selon la « National sleep foundation », un enfant de 3 à 5 ans a besoin de 10 à 13 heures de sommeil. Un enfant de 6 à 13 ans, entre 9 et 11. Je vous laisse faire les calculs….


Pour plus d’informations, consultez le site www.thensf.org.


Et puis, entrons dans la pratique, là où vous pouvez réellement agir… 


La routine du coucher !

Je sais d’expérience qu’avec plusieurs enfants, elle est un peu compliquée à mettre en place mais je suis sûre que vous saurez faire preuve d’imagination pour créer une routine toute douce et adaptée pour chacun de vos enfants.


Voici quelques propositions :

Après le rituel de préparation du coucher (pyjama, brossage de dents, un pipi et au lit…), vous pouvez :

- Lire une histoire (album, conte. A la maison, nous avons beaucoup lu « Les musiciens de Brême », l’histoire de 4 amis qui s’en vont à Brême jouer dans la fanfare et qui parviennent à faire fuir les voleurs en leur faisant croire qu’un monstre était dans la maison… Pas mal pour prendre de la distance avec ce qu’on croit et ce qui est vraiment…)


- Faire un câlin. On se charge d’amour et de sécurité pour la nuit. ( Éviter quand même de rester jusqu’à l’endormissement de l’enfant. Il est bon qu’il vous sente partir)


- Mettre en place une phrase magique de bonne nuit. C’est une phrase destinée à rassurer l’enfant que la nuit n’est que passagère et que l’on se retrouvera demain matin. Ca peut être une phrase très simple : « Dors bien. Maman est à côté, on se retrouvera demain matin. »



Sécuriser l’enfant 


En plus du rituel, on peut :

- Mettre une veilleuse (pas de lumière forte)

- Proposer un doudou avec votre odeur.

- Selon la configuration de l’habitation, laisser la porte de la chambre ouverte ou entrouverte.


D’autres trucs pour lutter contre les cauchemars à faire dans la journée


Créer un spray anti-cauchemar


Comment créer un spray anti-cauchemar ?

Il vous faut : un flacon spray à décorer (avec des autocollants par exemple)

De l’huile essentielle de lavande vraie

De l’huile essentielle d’orange douce

de l’eau.


Remplissez le flacon d’eau et versez-y quelques gouttes des huiles essentielles à part égale. (5/6 en fonction de la taille du flacon).


Faites décorer le flacon en faisant bien comprendre à quiconque voudra s’emparer du flacon que c’est un spray anti-monstre ou anti-cauchemar…


Vaporiser par petites touches (on ne vide pas le flacon non plus dès le premier soir ! ) là où se cachent les cauchemars. Sous le lit, près de l’oreiller, dans le placard… Partout. On dégomme les cauchemars !


Attention cependant, même si elles sont en quantité minime dans le flacon, les huiles essentielles contiennent des principes actifs. Ne pas laisser à portée des enfants et vérifier l’utilisation (allergies, asthmes, etc)


Créer une potion magique du courage

Pour cette potion, nous allons utiliser des fleurs de Bach. Une en particulier…

Rock Rose. On peut aussi remplacer Rock Rose par le Rescue (plus polyvalent, donc plus utile à avoir chez soi. ). Le Rescue est un mélange de 5 fleurs et contient aussi Rock Rose, donc, c’est au choix.


(Si vous souhaitez en savoir plus sur l’utilisation des fleurs de Bach, découvrez l'article les fleurs de Bach, qu'est-ce que c'est ?  )


Il vous faut :

  • Un flacon spray en verre ambré de 30 ml.
  • De l’eau faiblement minéralisée, 
  • l’élixir de Rock Rose ou Rescue (en pharmacie ou en boutique bio ou sur internet)


- Remplissez le flacon d’eau presque entièrement (laissez environ un demi cm d’air)

- Mettez 2 gouttes de Rock Rose OU 4 gouttes de Rescue.

- Refermez. C’est fini. Il ne reste plus qu’à décorer le flacon pour le courage.


Pour l’utiliser : 2 pulvérisations dans la bouche 4 fois par jour.


Attention : les fleurs de Bach ne sont pas un dispositif médical et ne doivent pas interrompre un traitement. Demandez l’avis de votre médecin.


Le laisser parler de sa peur et la dessiner

Laissez-le parler de sa peur, avec ses propres mots et écoutez-le en posant des questions ouvertes sans minimiser sa peur.

Dans la journée, abordez ce cauchemar avec lui. Et demandez-lui de vous le décrire, ce qu’il s’est passé, ce qu’il a ressenti.

Montrez-lui que vous avez de l’intérêt pour cette peur qui, même si on sait qu’elle est imaginaire et peut nous paraître infondée en tant qu’adulte est bien réelle et affecte l’enfant.

Ecoutez-le s’exprimer avec ses propres mots sans jugement. Juste dans l’accueil de ce qui est important pour lui.

Puis, ensuite, pourquoi pas lui proposer de dessiner le cauchemar.

Dessiner, écrire permet de mettre de la distance avec les choses qui nous angoissent.


Quoi faire du dessin ensuite ?

Le déchirer ou le mettre dans un « Mange-soucis » de Defilenluneune super créatrice à retrouver sur Instagram. Elle crée, entre autres choses des manges-soucis, des petits monstres sympathiques et colorés qui ont pour but d'avaler les petits et gros soucis… Alors pourquoi ne pas donner à cette jolie peluche quelques cauchemars à manger ? 

Une fois le dessin bien froissé, on le fourre dans la bouche du Mange-soucis et zipp, on lui ferme sa fermeture éclair.  (Et nous, parents, on le vide de temps en temps). Les enfants adorent. 


Pour découvrir les monstres "Mange-soucis", rendez-vous sur le profil de Defilenlune (lien direct vers le "mange-soucis")

Bien sûr si les cauchemars persistent ou s’intensifient, n’hésitez pas à consulter un professionnel.


Vous souhaitez en savoir plus ? Aider votre enfant à mieux vivre ses émotions au quotidien ?

Vous pouvez me contacter sur le formulaire du site www.bouillon-d-amour.fr ou sur Instagram


A très vite.


Mélanie

Accompagnante émotionnelle enfants, adolescents et adultes

Conseillère en fleurs de Bach et coach enfants et ados.


Séances en cabinet (Sud Essonne) ou en visio.

Prendre rendez-vous ou en savoir plus ?

www.bouillon-d-amour.fr




Stress des examens : des fleurs de Bach pour l'apaiser

  Le mois de mai…. Ça sent bon la fin de l’année scolaire mais la période des examens approche à grand pas. BAC, DNB (Diplôme National du Br...